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Traditionnellement, cette prestigieuse collection Jocks de Falcon est destinée à mettre en avant de jeunes acteurs qui sont confrontés à des acteurs plus confirmés.Elle joue aussi dans un registre plus intimiste, moins grandiose .Ici,ceux qui sont amateurs de duos (le film en propose quatre) sur canapés ou gros fauteuils vont être aux anges.C’est le mariage réussi entre le sexe et le confort...
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Il y a une mécanique bien réglée chez Falcon, tellement bien réglée qu’elle peut paraître très sécurisante pour ceux qui appré- cient les parcours balisés, les che- mins bien tracés et les films qui tiennent leurs promesses meme si le grain de folie n’est pas au rendez-vous. C’est le cas des pro-
ductions de la collection Jocks, une des collections vedettes de Falcon studio. On le voit dans «Big rock cove», un film qui découpe son action en quatre séquences de durée voisine qui montre, pour chacune d’elle, un duo d’acteurs. La première scène réunit Donny Wright et Christopher Daniels, jeunes, beaux et talentueux. La seconde réunit Tommy Defenfi et AJ Irons, talentueux, beaux et jeunes. La quatrième unit Parker Perry et Alex Andrews, beaux, jeunes et talentueux. Ah oui, la troisième redonne une deuxième chance à Donny Wright, beau brun ténébreux, qui va cette fois se taper un nouveau cul, beau, jeune et talentueux, celui de Jake Steel. Voilà, tout est réglé, tout est en place et tout est d’une grande perfection... il n’y a pas un poil qui dépasse, les acteurs sont magni- fiquement filmés... mais tout cela est très bien cadré, trop bien cadré. Pour tout dire, cela manque un peu de fantaisie,mais le contrat est parfaitement rempli... Traditionnellement, cette prestigieuse collection est destinée à mettre en avant de jeunes acteurs (ici, Donny Wright) qui sont confrontés à des acteurs un peu plus confirmés (ici, par exemple, c’est Tommy Defendi qui assure le tutorat des néophytes du porno et aussi Parker Perry qui en a connu bien d’autres). Elle joue aussi dans un registre un peu plus intimiste, moins grandiose que dans les productions haut de gamme du label. Ici, ceux qui sont amateurs de duos (le film en propose quatre) sur canapés ou gros fauteuils vont être aux anges. C’est le mariage réussi entre le sexe et le confort... de quoi devenir casanier.
TM |
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